Noë Baryssien

Chapitre 2 : Les épreuves (Le feu)

A chaque époque, nos courageux ancêtres ont surmonté bien des épreuves, la première serait le feu, nous allons à travers ce récit vous éclairer sur ces évènements terribles, mes propos ne seront pas pour autant incendiaires.

Cependant, qui pour autant ne c’était jamais pendu, on ne retrouve que peu de traces écrites de cette époque, d’une part ils ne connaissaient pas l’écriture, et ce qu’ils auraient pu écrire a été détruit par le feu.

Ils s’exprimaient également en taguant les cavernes, afin de relater les nouvelles du jour, ce qui n’était pas toujours apprécié par le propriétaire des murs, qui effectuait de temps à autre temps un rafraîchissement des parois, de la caverne bien entendu.

Pour les chasseurs, ce terme désignait autre chose, ils l’utilisaient très fréquemment après avoir couru derrière le gibier, ou bien devant selon les circonstances.

Ces rafraîchissements répétés provoquaient de multiples problèmes, égarements des chasseurs, erreurs de cavernes, violents coups de massue assénés en guise de réjouissance pour l’accueil familial.

Un copain chasseur me disait la semaine dernière que sur le fond, rien n’a vraiment changé.

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Les NUNS pré-NOËBARYSSIENS

« Pré en bulle, attention à ne pas faire crever la mule »,  proverbe de l’époque de cette époque

Introduction délicate (dans l’arrière train du texte)

            Je remercie l’auteur de ces textes, c’est un regard nouveau sur une partie de l’humanité écrit avec génie et humilité sur les racines oubliées, d’arbres dont les troncs portent encore les traces de ceux qui ignoraient qu’ils en fussent les descendants, de branches en branches, de feuilles de vigne en feuilles de vigne.

Mais aujourd’hui, plus personne ne pourra les ignorer, grâce au talent de cet écrivain que j’ai découvert par hasard, et qui a donné un nouveau sens à ma vie, j’allais auparavant de gauche à droite et inversement, maintenant, grâce à lui, c’est le contraire.

Le beau-frère de l’auteur

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